Newslettre n7

Publié le par Nico in South Africa

Bonjour a tous,

 

Oui je sais, je vous ai manqué, mais ce retard est du a mon activités débordante de cette fin de première moitié de mon voyage aussi incroyable que passionnant.

Et pourtant, j’ai l’impression d’avoir un peu baissé de régime ces derniers temps en matière de voyage, sortie pas ordinaire, ou soirée à thème...


En tout cas, malgre mon emploi du temps quasi-plein, je vais essayer de finir la newsletter suivante plus rapidement que celle-ci
 

Néanmoins, pour cette newsletter n7, un beau weekend a Durban, soirée à répétition et sport

 

Tout d’abords, un petit point travail.

Au fur et à mesure du temps, je me rends compte que mon activité dépend énormément des personnes présentes au travail. J’ai eut l’occasion de gouter a une semaine de travail sans les 3 principaux chefs, a mes yeux, de Renault.

Xavier Gobille, manager général, Régis Fricotte, VP Marketing, et Xavier...

Et bien je peux vous dire qu’il est très difficile de se rendre efficace, ou du moins assidu, lorsque les principales sources de travail sont absente. Il faut tout de même noter que lorsqu’en 5 jours, on ne vous donne qu’une présentation à préparer, ce n’est pas vraiment poussif...

Mais depuis le retour des cadors (ou du moins, des 2 derniers...), je me retrouve a nouveau avec une masse de travail presque a la hauteur de mes attentes. Je dis presque car j’ai encore pas mal de temps creux dans mes journée ou je suis a la recherche d’une aide possible. Et toute les personnes qui ont connus ou qui connaisse les joies de la vie active ne me contrediront pas lorsque je mets sous les feux des projecteurs le fait que l’on reçoit plus souvent du boulot a 17h00 plutôt qu’a 8h00. Les gros malins me diront que tu n’as qu’à quitter le boulot avant 17h00... Whatever...

Mais je reste toujours aussi content de mon stage. J’apprends beaucoup de chose, et l’ambiance est vraiment géniale. Et une grande nouvelle est tombe récemment : Nous allons enregistrer d’ici peu l’arrivé non pas d’une, mais de deux stagiaires âgée de 18 et 20 ans dont les bureaux seront juste derrière le miens. Et n’ayant pas pu assister, a mon plus grand regret, au recrutement, je suis actuellement en pourparler pour obtenir les CV (avec photo bien sur), pour ne pas me réjouir trop vite, ou pour préparer le terrain. Je sens qu’on va encore bien s’amuser en Marketing...

 

Sinon, le voyage du mois s’est dérouler à Durban, sur la cote est du pays, c'est-à-dire au contact de l’océan indien, bien plus chaud que l’Atlantique. 8 personnes dans ce voyage, dont le petit nouveau chez Renault, Marc. Un V.I.E fraichement arriver en Marketing. Cette fois-ci, pas de détour, pas de changement de dernière minute, on prend l’autoroute, on roule et on dort à Ballito, destination d’origine.

Une fois sur place, à 1AM et après 7 heures de route, nous décidons de d’aller se coucher pour se lever plus tôt le lendemain, et profiter de la plage. Et quand on dit se lever plus tôt, ca ne rigole pas. Réveil 5:30AM. Le tout, pour pouvoir voir le lever de soleil.

Le gros avantage de l’océan Indien, en plus d’être chaud (je pense que la température de l’eau devait frôler les 26-28 degrés...), est très remuant. N’étant pas un surfer de talent (n’étant pas un surfer tout court...), je préfère me lancer dans une bataille avec les vague et... avec le courant ! Pensant pouvoir m’amuser comme sur la cote basque, ou le courant n’est pas très fort, et en m’appuyant sur mes talents de nageur (ok, je flambe un peu, mais il ne faut pas oublier mes 6km de nage/semaine lorsque j’avais 12 ans...), je me lance dans la traversé de la première série de vague pour aller chercher les plus grosse, plus loin (disons un bon 50m de la plage). Et bien pour la 2eme fois de ma vie (la première étant un secret que peu de personne connaissent), j’ai bien cru que j’allais devoir appeler les secours pour m’en sortir. Car le courant est tellement fort, qu’il est vraiment très difficile de revenir sur la plage sans une planche, des palmes ou un peu d’aide. Finalement, après 1/2h de bataille, de lutte et de nage, nous avons pu rallier le bord (car Christophe s’était également cru plus fort que la mer...), pour finalement, se poser sur notre serviette et dormir comme deux gros bébé au moment ou les vrai et bon surfeur se mettaient a donner un peu de spectacle. Et il n’est a ce moment la que 8h du mat... ca commence bien.

Après une sieste bien mériter, nous décidons de nous faire un petit « English breakfast » (car oui évidemment, nous n’avions pas petit-déjeuner avant d’aller faire les cons dans l’eau !), avant de retourner a la plage avec cette fois-ci, des planches de surf, un bodyboard et... un ballon évidemment !

Je ne parlerais pas de ma 1ere (et dernière) tentative de surf, mais force est de constater que le bodyboard, c’est comme le ski, ca ne s’oubli pas. Et la, c’est que du bonheur, surtout quand les vagues commencent à atteindre plus de 3 mètres... Comment être a plus de 50m de la plage a un temps X, et être la tête dans le sable a un instant X+10 sec...

Mais un autre événement va venir s’inscrire a notre mâtiné chargée : Désolé Thomas si tu lis mon blog. Ce con de Thomas, après l’épisode de Chris et moi, s’est senti tenter à son tour de faire mumuse avec la 2eme série de vague. Ou du moins, de s’écarter du bord sans planche, ni palme. Et n’ayant pas la même condition physique, notre organisateur s’est retrouver a deux doigts de se noyer. Si les surfeurs et les sauveteurs n’étaient pas venus l’aider...

Bref, la journée à continuer sans encombre, ni catastrophe. Mais plutôt une joie de passer 2 heures, le cul (et parfois la tete) dans le sable à force de se faire retourner par les vagues, puis de faire un peu de foot sur le sable, de se dorer la pilule, puis de retourner se faire écraser... une journée formidable.

Et après quelques courses, nous rentrons au backpack (dont je n’ai pas parlé d’ailleurs, mais qui était super, avec piscine, dans un cadre de jungle, tout confort... le top) et c’est partie pour une soirée de folie. Un peu de piscine, un peu de jeux, préparation du braii, longue discussion... Tout ca avant d’attaquer l’Amarula (alcool local) et a trouver des prétextes bidon pour trinquer. Il n’est alors que 10PM lorsque d’un cote nous perdons 4 membres de l’équipage, trop fatigué pour se lancer dans une soirée bar-boite (notre malheureux Thomas, toujours pas remis de son aventure, ayant été le 1er au lit). Autre gros avantage du backpack, il est situé tout près de l’endroit ou nous comptions sortir, donc pas besoin de prendre la voiture. Un premier bar, un second... des jeunes partout... on se croyais dans une station balnéaire ! Puis nous avons tous décréter qu’il était temps de rentrer. Il est 1AM ! C’est ca de commencer les soirées a 5PM, a 1AM, on croit qu’il est 5heure du mat et qu’il est temps de rentrer...

 

Et puis, autant dire que le lendemain, pas de réveil a 5:30PM ce matin la. Pire encore, nous nous retrouvons au réveil avec un ciel gris, du vent, limite de la pluie... La catastrophe quand l’objectif principal du weekend reste de faire de la bronzette a la plage toute la journée...

 

Nous décidons donc, après un nouveau « English Breakfast » (moins mérité que le précédent), d’aller au centre de Durban... visiter un Aquarium. Ok, ca parait ringard, mais ca fait un peu retourner en enfance, et puis ca fait travailler le vocabulaire aquatique en Anglais... très important pour mon travail... dans l’industrie Automobile...LOL

 

Bref, s’était tout de même très intéressant ; j’y aie également retrouvé mes amis les requins. Et dire qu’il y en avait dans l’eau dans laquelle je m’étais baigné la veille...

 

Malheureusement, l’activité de notre journée en restera limitée à ces quelques heures passée dans le monde aquatique. Un resto et direction Johannesburg.

 

Petite page sportive : Notre équipe de foot ayant retrouvé la première league, je continu avec assiduité mon Soccer Monday, auquel il faut ajouter mon Soccer Sunday, qui me rappelle mes heures passer dans les parcs et terrains a jouer des heures, entre amis (la condition physique en moins)...

Toujours beaucoup de Squash également. Je n’ai toujours pas réussi a battre Xavier, mais certains savent bien que c’est la persévérance qui fini toujours par payer... enfin j’espère.

Et toujours un peu de golf. Petite performance : +9 sur 7 trous lors de mon premier « parcours » en AFS... pas mal non ??? Clem, prépare toi, quand tu rentre des states, je te met une leçon...

 

J’arrête la cette newsletter un peu vieille car la suivante est déjà en préparation, et beaucoup de chose ont évolué, notamment au travail. Bisous a tous, et a bientôt,

 

Cheers,

 

Nico

 

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T
bon, plus de nouvelles depuis juin ! que se passe t-il ?
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E
Tu penses un peu à ton père quand tu ecris ??<br /> Maintenant je dois supporter ta mère très angoissée de tes conneries<br /> Si tu croises un requin, ne dis rien !!
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D
c'est bien petit entraine toi au squash...on verra tes progrès en septembre!
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